Résumé :
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Si en psychiatrie, les soignants affirment souvent que la relation constitue leur coeur de métier, elle ne va pourtant pas de soi et relève d’une certaine audace. Qu’est-ce qui « fait » rencontre ? Peut-on soigner sans engager une part de soi-même ? Comment rester en relation avec ceux qui attaquent le lien à l’autre ? Comment moduler sa présence en fonction de l’évolution des troubles ? L’organisation des soins peut-elle favoriser une juste présence soignante et de quelle façon ?
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